Il trouve sur la butte un havre de paix. On lui doit des descriptions magnifiques de Montmartre.
Et quand il tombe malade, quand la folie le guette, c’est à Montmartre qu’il se réfugie dans la clinique du Dr Blanche, rue Norvins. Il rédigera là son œuvre la plus importante : Aurélia.
Il reviendra régulièrement à Montmartre, toujours en quête d’une identité.
A lire :
http://clec.uaicf.asso.fr/recherches_patrimoniales/gerard_nerval.htm
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